La francophonie est un territoire de lecteurs, de BDs, de mangas, mais pourtant, le magazine de prépublication n’est pas légion. Ainsi, à travers la création d’un tout nouveau magazine, Nemu, on rentre dans les coulisses de conception de ce genre de publication et on s’interroge… Pourquoi n’en voyons-nous pas plus en kiosque ? Comment ça peut être viable ? Quelles sont les limites en France ? Après un arrêt sur un des monuments de la culture manga la semaine dernière, place aux jeunes artistes français !
Nemu !
Notre invité pour l’occasion est Nicolas Forsans (déjà intervenu ici) éditeur et directeur de la publication de ce nouveau magazine de prépublication qu’est Nemu. Baptisé en l’honneur de ces pages qui servent de base aux créateurs de manga, ce projet sera bien un magazine de prépublication à la française. Loin d’être la première tentative d’implanter en France une habitude nipponne, Nemu tente une nouvelle proposition éditoriale. L’idée étant de mettre en avant des auteurs français, tous nourris aux œuvres aussi bien françaises américaines, que Japonaise. Notre second invité est d’ailleurs l’un de ces artistes, Loïc Cassou.
Toujours plus de créations !
L’autre bonne idée à retenir, c’est l’appel à des Beta Lecteurs ! Afin de pouvoir peaufiner au maximum la formule, les créateurs vous font cette proposition de pouvoir tester et améliorer le magazine jusqu’à sa sortie. Quoi de mieux pour s’immerger dans les coulisses de la création de manga ? La création de ce magazine est aussi une occasion de réfléchir au marché du manga, aux différents processus de création et aux mécanismes. C’est aussi, bien évidemment, une nouvelle chance de rencontrer de nouveaux dessinateurs, et de se laisser entraîner dans une infinité d’univers à explorer. Pour poser toutes vos questions à Maxime et Robin, venez nous retrouver sur notre serveur discord.
Pour réagir, ayez le réflexe #5DC dans vos messages sur Twitter
Venez voir nos tops et nos listes manga sur Sens Critique !
Où nous écouter ? Partout…
Réagissez sur les internets avec le hashtag #5DC. Et on vous trouvera…
