Les éditions Glenat ont décidé, peu à peu, de s’affranchir des catégorisations japonaises que sont le shonen, le shojo, le seinen ou le josei. Ont-elle toujours un intéret en France ? Et pour qui ? Par quoi le remplacer ? Quelles sont leurs limites ? La 5e de Couv’ lance le débat, et on a hâte de lire vos réactions sur le sujet.

 

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